En 1847, la découverte d'or placérien dans la région de la Beauce, dans le sud du Québec, a donné lieu à la première ruée vers l'or du Canada, des décennies avant la célèbre ruée vers l'or du Klondike au Yukon. Jusqu'en 1914, la Beauce a accueilli les plus grandes mines d'or placérien historiques de l'est de l'Amérique du Nord.
En fait, elle a produit certaines des plus grosses pépites d'or de l'histoire minière canadienne (de 45 onces à 71 onces).
Patrick Levasseur, président-directeur général, cofondateur, directeur de Champs d’Or en Beauce (BGF) nous emmène faire un tour dans l'histoire dans cette vidéo.
Regardez la vidéo :
Champs d’Or en Beauce est une société d'exploration aurifère axée sur l'exploration des placers et des roches dures dans la région de la Beauce, dans le sud du Québec. L'objectif de Champs d’Or en Beauce est de retracer les exploitations d'or placérien jusqu'aux sources de roche-mère afin de découvrir des gisements d'or filonien économiques.
Champs d’Or en Beauce se négocie à la bourse canadienne TSX-Venture sous le symbole boursier : BGF (TSX.V : BGF).

Champs d’Or en Beauce est une société d'exploration aurifère qui se concentre sur l'exploration des placers et des roches dures dans la région de la Beauce, au sud du Québec.
Bonjour Patrick,
Je suis certain que tu pourrais faire cette même vidéo en français. je ne comprends pas l'anglais. Nous sommes au Québec, et les investisseurs potentiels sont plus susceptibles de venir du Québec. Les québécois sont réfractaires face à une approche en anglais.
Bonne réussite dans tes prospections.
Je suis actionnaire.
A+
Bonjour Ernest,
J'ai en fait une vidéo similaire en français. Voir lien ce lien. https://beaucegold.com/fr/ceo-featured-show-la-fouille/
Je serai également dans un documentaire à la télé en français sur le même sujet qui devrait paraître plus tard cette année. Nos actionnaires québécois nous sont bien sûr chers a nous cependant, nous avons un grand nombre d'investisseurs canadiens anglais et internationaux investis dans BGF.
Merci pour vos commentaires, Patrick.